Maintenant, le jugement se fait devant nous !!!
( Mot de Sylvie, pour ne pas confondre avec les enseignements du Ciel )
Bonjour à tous, voici la suite du billet précédent, le Seigneur donne des exemples de jugements que nous vivons, et vivrons
Que le Saint Esprit nous donne les compréhensions nécessaires afin de s’accomplir comme il le désire, n’oubions pas que tous ce qui sera fait là dans le présent, ne sera pas à refaire le jour de la Grande purification de la chair ce sera des pas de fait, et que de joie pour nous en ce grand jour en triple cadence que tous les gens présents sur terre, vivront tous, en même temps !!!
Paroles de Dieu antérieurs en audios, vidéos et ou textes que j’ai réunit à ce lien :
Paroles du Ciel par La Fille du Oui à Jésus !!!
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Maintenant, le jugement se fait devant nous !!!
On est à l’école, n’oubliez pas encore, là. Bon, commençons l’école! Dès le début de notre vie, nous avons vu, entendu, nous avons parlé, nous avons accompli des choses, nous avons eu des sentiments, nous avons pensé, mais ça, c’est dès notre naissance. Qu’avons-nous fait avec ce méli-mélo, là? On a vécu notre vie. On ne s’en est pas occupé.
Dans un jugement, qu’est-ce qui est important? Les faits. Lorsqu’on étudie les faits, là on pose un jugement après que tous les faits ont été devant le juge : je me suis levé à une telle heure, j’ai pris mon auto; à telle heure, j’étais rendu à un tel endroit; après cet endroit, j’ai la preuve que des personnes m’ont vu; après que les personnes m’ont vu, j’ai pu m’asseoir; y’a une personne qui est arrivée, elle a sorti son fusil, elle m’a demandé mon argent, j’ai refusé, j’ai reçu une balle; me voici devant ma vie, j’suis en train de regarder. Voilà des faits.
Prenons la situation de la volonté humaine : dans quel état je m’étais levé? Est-ce que j’étais en colère? Est-ce que j’étais capable de conduire avec beaucoup de prudence? Quand je suis arrivé sur les lieux, à quel endroit je me suis dirigé en premier? Quelle était donc mon attitude? Une attitude paisible, de paix, ou une attitude de colère? Est-ce que j’aurais provoqué celui qui devait s’approcher de moi? Qui tenait l’arme? Lui tenait l’arme. D’où venait l’arme? Est-ce que c’est moi qui avais l’arme? Est-ce que j’ai été une personne provocante? Est-ce que je lui ai donné les chances de voir que je n’avais pas sur moi d’argent? Est-ce que je me suis mis dans un état de danger? Est-ce que les paroles que j’ai prononcées étaient des paroles d’encouragement pour que lui se serve de son arme? Est-ce que je l’ai encouragé à tirer?
Quelle volonté humaine peut faire un jugement pareil, étudier des faits comme ça? Si nous sommes – n’oubliez pas qu’on est décédés là, hein? – si nous sommes devant notre jugement, avec quoi allons-nous nous juger, étudier les faits? On l’a dit au début, hein, avec la volonté humaine. Maintenant, la volonté humaine; bon, là, elle est en train de regarder tous ces faits-là : ‘Ouais, je me suis levé le matin, j’étais même pas chez moi alors que je suis marié, j’étais ailleurs; et voilà que je vois que j’étais dans l’adultère. J’ai donc fait souffrir mon épouse. J’ai donc abusé d’une personne qui, elle, n’était pas mon épouse. Est-ce que j’ai vraiment été amour pour cette personne et pour mon épouse? Devant mon Dieu, est-ce que j’étais dans le commandement de mon Seigneur et Maître? Est-ce que je volais mon prochain? Est-ce que je me suis volé de l’amour? Est-ce que je me suis encouragé à ne pas vouloir du commandement de Dieu? Est-ce que je suis vraiment quelqu’un de bien face à mon prochain? Est-ce que je vais donner un bon témoignage à mes enfants? Est-ce que mon sentiment, à cet instant, est un sentiment valable devant mon Dieu, devant moi et devant mon prochain?’ Et pourtant, c’est comme cela que ça se passe.
N’oubliez pas que nous venons de quitter la terre pour entrer dans un temps où il devra être éternel : devant Dieu ou devant la Mort. J’ai donc, en ce moment, deux choix : un temps d’éternité ou un temps de mortalité éternelle. Je viens de me lever de l’endroit où je suis, et déjà, regardez tout ce qui doit être devant nous. Faites ce que vous voulez. Dites : ‘Ben, hey, ça … non; moi, là, j’veux rien savoir de ça.’ Ça va changer quelque chose? Jésus serait venu sur la terre pour rien? Jésus est venu sur la terre pour ce moment, tant il est important. Dieu, le Fils, est venu sur la terre pour prendre ‘ce’ moment. Lui, il savait, Jésus, qu’il n’était pas chez lui; lui, il savait, Jésus, que son enfant était dans l’adultère; lui savait, Jésus, qu’il devrait se présenter devant cette action; lui, Jésus d’amour, savait ce que lui était pour penser de lui-même face à son Père, face à lui-même et face à son prochain. Jésus savait tout ça.
Jésus a consenti à prendre ce qu’il était en train de vivre et il a consenti, lui, à le ressentir. «Je veux que ses pensées soient mes pensées. Je veux que son regard soit mon regard. Je veux que son écoute soit mon écoute. Je veux que ses actions soient mes actions, que son cœur soit dans mon Cœur, que ses paroles soient devant ce qu’il devra regarder.» Jésus a tout pris, absolument tout. Ce moment, Jésus, il a voulu le vivre pour en porter le poids pour que cette personne-là ne puisse pas se juger sans l’amour de Dieu : «Moi, je t’aime.» Ce ‘je t’aime’, jour et nuit! Ce ‘je t’aime’ est toujours là : «Je t’aime. Abandonne-toi. Sois obéissant. Fais ma Volonté. Je vais te donner des grâces». C’est ça que le Seigneur fait continuellement.
Eh bien! Ce que nous venons d’entendre, c’est ce que nous sommes à cet instant. Alors, ne perdons pas un seul instant de notre jugement. J’entends : ‘miséricorde’, parce que, ce que j’entends, doit être pour moi paix, joie, amour. Parce que si c’est paix, joie et amour ce que j’entends, c’est que j’accepte la miséricorde de Dieu. Il enveloppe de sa miséricorde mon mouvement, mon action, mon oui : ‘Hé! mon oreille, elle est à toi, Jésus. Je t’aime. Je veux disparaître. Ce n’est pas moi qui vis, c’est toi. Je consens à être ce que tu veux que je sois. Tout ce que je suis à l’instant même, bien, ça ne dépend que de toi. Mon amour, je te le donne parce que je veux mourir en toi. » C’est une souffrance d’amour puisque Jésus a souffert par amour.
C’était de la joie, de la paix et de l’amour qui nous nourrissaient continuellement et qui nous nourrissent encore continuellement : ‘Je ne veux plus entendre sans ta miséricorde; laisse-moi mourir dans ta miséricorde; laisse-moi vivre ta miséricorde, elle est pour moi’. Je pénètre en Dieu, je disparais, je ne suis plus, et pourtant je suis avec mon prochain, je suis avec vous, et pourtant je consens, je consens à entrer dans sa miséricorde, à vivre sa miséricorde, à boire sa miséricorde, à m’envelopper de sa miséricorde. C’est la joie totale! C’est l’Amour, c’est l’Amour avec un grand A. Hey! Je n’ai plus à m’inquiéter! Pourquoi je m’inquiéterais? C’est lui qui a mon oreille, j’m’inquiète plus maintenant.
Alors, voyez-vous, là, c’est commencé, il l’a dit. Le temps de la préparation, c’est terminé. Maintenant, on s’accomplit. On entre dans sa miséricorde. Et que va faire mon oreille? Elle va entendre, boire, vivre la miséricorde. Alors, toute oreille sera mon oreille; toute oreille sera mon oreille car je n’ai plus d’oreille, c’est l’oreille de Jésus. Jésus a-t-il entendu toute écoute à cet instant où moi j’écoute? Mais oui, c’est ça que nous sommes en train de vivre. À l’instant où j’entends, tout le monde entend. Vous n’êtes pas déjà arrivés et dire : ‘Hey, j’suis en train de faire quelque chose, untel fait quelque chose, untel à une telle place, untel…’ On est tous en train de faire quelque chose. Au même moment, le monde entier bouge au même moment que je bouge; au même moment, mon oreille qui écoute, les autres oreilles écoutent au même moment que moi. Ils entendent eux autres aussi.
Mais elle est à qui l’oreille, maintenant? À la Miséricorde. Parce que là, Jésus a tout entendu. Il n’a pas seulement entendu ce que moi, j’ai entendu, il a entendu tout son qui a entré dans toute oreille des enfants de Dieu, passé, présent, futur. Alors, où était la miséricorde de Dieu à l’instant où Jésus acceptait de tout prendre? Dans son accomplissement. Il accomplissait la Volonté de son Père : «Va, mon Fils, tu es l’Élu, tu es le Choisi. Va sauver ce monde.» Sa miséricorde! Miséricorde de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit : une miséricorde, ‘une’ miséricorde. C’est merveilleux! C’est merveilleux, hein, ma Nicole? J’entends la même chose que vous, là! J’apprends la même chose que vous, au même moment, là!
Q. (Nicole) J’aimerais ça me ‘crinquer’ aussi, mais j’comprends pas!
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah! j’ai hâte!
Q. (Nicole) Pourquoi t’es ‘crinquée?’ Non, mais, tu sais, c’est pas ça que je veux dire, mais il y a quelque chose qui m’échappe.
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Vous avez une oreille, cette oreille a servi à faire le mal. Je suis en train de me juger parce qu’à cause d’une balle qui m’a pénétré, je suis devant mon jugement. J’étudie les faits : Bon, à quoi a servi mon oreille à ce moment-là? Est-ce que mon oreille a servi Dieu? M’a servi pour aimer Dieu? Est-ce que mon oreille a servi de nourriture pour nourrir tous les enfants de Dieu? Alors, cette oreille, je consens aujourd’hui de la vivre en la miséricorde; en la miséricorde de Dieu mon oreille est parce que lui l’a connue. Jésus savait que je me servirais de mon oreille à l’instant où je le vivais pour m’amener à mourir par une balle.
Mais le moment où j’écoutais, j’écoutais ce qui n’était pas amour, paix; cela m’a conduit à une mauvaise conduite. J’écoute le mal : ‘T’es un chien! Si tu penses que j’vais te donner mon argent!’ Mon oreille venait d’entendre que lui voulait avoir mon argent, je n’étais pas pour lui donner. Je l’ai insulté. D’après ce que j’ai entendu, mon oreille a servi Dieu? Elle ne m’a pas servi et n’a pas servi mon prochain. Est-ce que Jésus connaissait ce moment d’écoute? Est-ce que Jésus a consenti à être l’écoute? Le son qui pénétrait dans mon oreille, je m’en suis servi pour dire ces paroles, hein? Alors mon oreille, je m’en suis servi pas pour Dieu, pas pour moi et pas pour mon prochain, mais contre Dieu, contre moi et contre mon prochain. Mais là, je suis là devant mon jugement : miséricorde. Je viens de dire à la Miséricorde : miséricorde. Je viens de dire oui à Jésus : miséricorde.
Q. Mais qu’est-ce que ça veut dire ‘miséricorde’?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Miséricorde, c’est que j’accepte que Jésus ait pris mon écoute, qui était contre Dieu, contre moi et contre mon prochain; j’accepte qu’il ait pris ça comme si c’était à lui : «Je te pardonne.» Voilà ce que Dieu dit : «miséricorde.» C’est un pardon. C’est accepter que Jésus soit pour moi miséricorde. À qui a-t-il adressé tout cela? En prenant tout, il s’adressait à qui? À son Père. Il a consenti à prendre tout sur ses épaules et à se présenter comme étant ‘le pécheur’. C’est un ‘je t’aime’. La miséricorde, c’est de la paix, de la joie et de l’amour pour tous les enfants de Dieu. Mais il faut l’accepter. Voilà pourquoi, là, à cet instant, il faut consentir à ce que tout de nous soit dans la miséricorde de Dieu. Je meurs dans la miséricorde de Dieu pour être au service de qui?
Nicole. J’attendais la réponse là, puis j’ai oublié : miséricorde! Alors, le Seigneur, il prend tous mes manques de mémoire comme si c’était à lui, puis il se présente à son Père. Ouf!
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Et voilà! À son Père! Il prenait tout parce qu’il a été envoyé par qui? (R : Par son Père.) C’est l’Élu, c’est le Choisi. Et il a été envoyé vers qui? Vers nous, pour nous ramener à la maison. Nous, qu’est-ce qu’il nous demande de faire en ce moment? De nous accomplir, de nous accomplir, de nous accomplir.
Si je vois qu’une personne a oublié son fusil sur la table, est-ce que je vais appeler la police? Est-ce que je vais laisser le fusil sur la table? Je vais le prendre et le mettre là où il ne nuira jamais à personne. Alors, je le fais par amour pour Dieu, pour moi-même, pour mon prochain : je ne suis plus en danger. Il y avait le fusil sur la table et je n’avais qu’à dire miséricorde, il n’aurait pas tiré. J’aurais pris le fusil, je l’aurais enlevé devant son regard, de son regard, pour le protéger, parce qu’il avait tellement besoin d’aide! J’aurais été miséricorde. C’est ça qu’il faut faire. À qui était donc le fusil maintenant? (R : À la Miséricorde). À la Miséricorde. Pourquoi? Parce qu’à l’instant, tu voulais faire quoi? Tu voulais être au service de qui? De la Miséricorde. Ne pas se juger, mais laisser la Miséricorde nous juger ainsi que lorsqu’au moment où lui sera devant ce geste, il vivra ça avec le ‘je t’aime’.
Nous vivons la Grande Purification de la chair – il reste des poussières – nous vivons la Grande Purification de la chair. C’est le moment de comprendre la miséricorde de Dieu, qu’elle est pour tous les enfants de Dieu. À l’instant où notre oreille entend quelque chose contre Dieu, contre nous, contre notre prochain : miséricorde. Je ne me fâche pas : miséricorde, car avant de me fâcher, j’ai connu la miséricorde. Je n’insulte pas car avant d’insulter, j’ai connu la miséricorde. Est-ce que vous comprenez que la miséricorde, maintenant, doit être devant nous continuellement?
‘T’as pas rangé la chaise?’ Là, je te donne causes, choix et conséquences. Je refuse cette tentation parce que, là, j’ai parlé : « T’as pas rangé ta chaise »; je ne suis pas morte en la miséricorde. « Merci Jésus de l’envoyer au pied de la Croix. Merci de guérir, de libérer tout mouvement de vie malade. Merci, Maman Marie de me donner des grâces. Arrache le mal de ma chair et purifie-la. » Je n’ai qu’une pensée, c’est la pensée de Dieu. Je suis donc une nourriture, alors : miséricorde. Parce que je n’ai pas dit miséricorde avant, je dois donc le dire après. Voilà. Tout, maintenant, doit être miséricorde.
Ça va pour la première leçon?
Q. Oui, mais ça, c’est pas la Grande Purification! Mais on ne voit encore pas Jésus puis Marie, en tous cas. C’est ça ou je n’ai pas mes bonnes lunettes!
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Qu’est-ce que nous sommes en train de vivre? Les poussières.
Jésus : Il vous reste des poussières de rappel. Rappelez-vous de ce que j’ai fait pour vous!
Q. Est-ce que Jésus est en train de nous dire que notre refuge est sa miséricorde?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui et non. Le refuge : il va nous faire entrer dans notre demeure. Quand le Souffle va venir… – Ah, tu parles d’en ce moment même avec les poussières? – En ce moment même, nous avons, oui, nous avons un refuge à l’intérieur de nous, ce qui nous garde paix, joie et amour, pour qu’on puisse réaliser ce que nous sommes en train de vivre. Dans cette paix, dans cette joie et dans cet amour, là, nous allons laisser plus de place à ce que Dieu nous demande. Ce ne sera pas quelque chose qui est acquis comme ça, là. Nous avons à vivre, à mourir dans la miséricorde. Plus nous serons abandon et obéissance, eh bien, plus nous allons mourir en la Miséricorde parce que là, tu seras un ‘je t’aime’ : aimer Dieu de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit, de tout ton être. Il nous l’a dit cet après-midi.
Essayez d’imaginer, là, que Dieu vous veut : « Oui, Seigneur, tu me veux? Prends-moi ». À cet instant, je ne suis plus, je ne suis plus. Le vent, je ne suis plus; un rayon de lumière, je ne suis plus. Je ne suis plus. Je suis en Dieu et c’est tout ce qui compte. Je n’ai plus d’oreilles, je n’ai plus de cheveux, je n’ai plus rien, je n’ai plus de chair, je n’ai plus rien. Je n’ai que vie en lui. Ne plus être : plus de passé, plus de futur, plus de famille, plus rien. Que Dieu! Que Dieu! Que notre Dieu! Que l’Amour! Dieu dit que nous devons aimer, aimer et aimer si nous voulons cela. Mais nous devons aimer, aimer notre prochain, vouloir tout pour notre prochain.
Entendre le Seigneur te parler, entendre le Seigneur te faire vivre, entendre le Seigneur dans ta chair et tout accepter : «Tu as été une prostituée et tu as aimé te découvrir : miséricorde. Tu m’as craché au visage pour mieux te regarder : miséricorde. Tu as monté des marches pour mieux te faire voir au-dessus des autres : miséricorde. Tu t’es tourné sur le passage de ton prochain et tu t’es regardé pour mieux savoir si tu étais supérieur à lui : miséricorde. Tu as entendu parler de Dieu et tu t’es dit : c’est à moi qu’il parle : miséricorde. Parce que tes pensées étaient plus grandes que celles de Dieu : miséricorde. Tu as craché sur celui qui avait besoin d’aide : miséricorde. Tu as signé des papiers pour avoir le commerce d’un autre : miséricorde. Tu as refusé le manteau de fourrure pour en avoir un plus beau : miséricorde. Tu as été jusqu’à vouloir te montrer plus intelligent que Celui qui t’avait mis au monde : miséricorde. Tu as commis l’adultère alors que tu accusais celui avec qui tu étais mariée : miséricorde. Consentir à ne plus connaître, alors que ton avoir était plus grand que toi : miséricorde. Tout n’était que vouloir pour soi-même : miséricorde.»
Lorsque le Seigneur parle ainsi, lorsque le Seigneur te fait connaître ces mots, tu dois les aimer, tu dois les vouloir, parce que toutes ces accusations, c’est pour protéger ton prochain contre lui-même, tout accepter pour que notre prochain soit dans la force de Dieu. Voilà les poussières qu’il faut vivre et c’est très important : tout accepter.
Voyez-vous que ce que nous sommes, en ce moment même en train de vivre, a été préparé depuis toute éternité par Dieu afin qu’on s’accomplisse? Tout le monde peut dire : le temps est commencé, mais qui peut nous instruire ainsi? Que Dieu, que notre Dieu, parce que tout vient de lui. Il fallait que cela soit ainsi. Alors, on s’accomplit, pas on s’accomplira, on s’accomplit. Amen.
On le chantes-tu cet amen-là?
♪♪♪ Amen, amen, amen, amen.
Q. Mais ça, ça veux-tu dire là, bon, dans les poussières, on vit nos affaires là comme des choses qui nous reviennent, qui nous reviennent, qu’on a faites, qu’on a dites, qu’on a entendues, etc. puis miséricorde, mais déjà va-t-il nous faire ressentir des choses que quelqu’un a vécu, mais que c’est pas nous, mais… est-ce que c’est ça?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Miséricorde!
Q. C’est ça. Il faut juste dire miséricorde, c’est ça pour ma question?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu consens à être morte en la Miséricorde. Tu es donc la plus pécheresse de toutes les pécheresses de la terre.
Q. O.K. Sans se poser de questions, c’est juste que tu te lèves puis : miséricorde toute la journée. C’est ça, chaque mouvement intérieur?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui.
Q. Je pense aussi que quelqu’un avait posé une question. Est-ce qu’on peut, quand on se rappelle, donner quelque chose qu’un aurait dû donner à la Miséricorde parce que dans le passé, on ne l’a pas fait? Jésus avait dit oui, oui. Il a dit que c’était bien important de continuer nos refus.
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oh, oui! L’exemple de la chaise tantôt. Tu as déplacé la chaise; alors là,) le tentateur a été plus vite que nous, là. Alors nous, miséricorde n’a pas été dit. C’est l’autre! Et il a été tellement vite que…
Il faut continuer nos droits d’enfants de Dieu. Maman Marie, le dimanche, nous en a parlé. Regardez. Le lendemain, le lendemain de Plantagenet, là, le dimanche, ça commencé durant la nuit. Le Seigneur me montrait des images : j’étais toute petite, toute p’tite, toute p’tite. Il me montrait des images. Une personne avait entré à Saint-Philippe, on s’était cachés en dessous de la table parce qu’elle avait entré avec l’Halloween; je l’ai vue entrer, je l’ai vue, j’étais toute p’tite : miséricorde. Après ça, il m’emmenait et je me suis vue dans la cuisine en train de me chicaner avec mon frère qui me faisait mal au poignet : miséricorde. J’ai vu quelque chose, un désappointement face à mon père : miséricorde.
C’était comme ça, c’était des flashs, c’était des flashs, et là il m’enseignait pour que je puisse vous parler. Tout est vrai. C’est d’une beauté, c’est d’une beauté! On entre dans ce mouvement d’amour.
Q. Maman Marie nous avait dit que beaucoup de choses qu’on a vécues dans la fin de semaine, qu’on aurait des signes dans la semaine. Moi, j’en ai eu toute la semaine. En arrivant le dimanche soir, en arrivant, c’a parti et c’a été tout le temps comme ça. C’est vrai!
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ça, c’est important ce moment-là. Nous avons un Dieu de miséricorde. Un Dieu de miséricorde nous prépare, mais un dieu sans miséricorde, il l’a dit au début : «Satan ne vous instruirait pas.» Il l’a dit. C’est pour ça qu’il mélange, il brouille les cartes.
Q. Pourquoi y en a-t-il qui, comme moi, là, je vois jamais rien : pas de flashs, y’a pas rien.
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Accomplis-toi!
Q. Comment?
Tous : Miséricorde!
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : En ce moment, as-tu entendu ta miséricorde le prononcer, ou tu t’es laissé tenter par Satan?
Q. Parce que tu t’es jugée toi-même?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : ‘Comment ça se fait?’ Déjà, c’était trop : miséricorde, miséricorde. Saute sur la miséricorde! Tout le temps, sois miséricorde, miséricorde, miséricorde. Chante la miséricorde!
Q. Plus on va aller… des choses qu’on se souvient, puis on dit : miséricorde, plus on va en donner, plus on va rentrer par la grande miséricorde de Dieu. Parce qu’on est nourriture, hein?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oh, oui!
Q. Avec ce qui s’en vient, le Seigneur, c’est pas pour rien qu’il nous parle, parce qu’on n’aura pas le choix, il va falloir…?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Écoutez. Lorsqu’il dit : «J’appelle tous les enfants du monde, tous mes choisis», il nous parle. Pourquoi? Il dit : «Que celui qui veut, croit!» Alors, il nous attire à lui, il nous veut. C’est le moment. Et vous allez comprendre beaucoup de choses tantôt. Comme tantôt, il parlait, il parlait… Tous ceux qui ne croyaient pas : miséricorde; tous ceux qui ne veulent pas entendre parler de Jésus : miséricorde. Ce n’est que de la miséricorde.
Le Seigneur me fait vivre la miséricorde, miséricorde. Aussitôt qu’il y a quelque chose pour notre prochain : miséricorde, miséricorde!
Q. Si on plonge dedans la tête la première, on va être dedans, toujours?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah, au complet, oui! La miséricorde!
Q. Ça arrête tout! Ça arrête les tentations, ça arrête tout, on retrouve notre paix tout de suite. C’est ça?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, miséricorde. Tu as raison : miséricorde, c’est tout de suite. Parce que ce n’est pas nous qui nous nous jugeons, c’est la Miséricorde. Vous allez comprendre : ce n’est pas nous qui allons nous juger, mais la Miséricorde.
Q. Elles ont composé une chanson sur le refus….
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Du refus. Oui, oui. Ah, les deux filles! J’ai entendu.
♪♪♪ Jésus, je te donne causes, choix et conséquences.
Je refuse cette tentation.
Merci, Jésus, de l’envoyer au pied de ta Croix.
Merci de guérir tous mouvements de vie malades.
Merci, Marie, de nous combler de grâces.
Divine Volonté, arrache le mal de cette pensée,
Purifie-la de ton feu d’amour,
Et plonge-la dans ta pensée
Afin qu’elle devienne une nourriture.
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on arrête ici. Écoutez ces enseignements. Écoutez les enseignements du début jusqu’à aujourd’hui, vous allez dire des ‘miséricorde’ continuellement.
Q. Ça, ça nous fait vivre le mouvement de la purification de notre chair : l’écoute, le regard, les pensées, les sentiments, tout ce qu’on peut ressentir, quoi regarder. Quand on est face à quelque chose qui n’est pas de Dieu, c’est de dire ‘miséricorde’ pour nous faire avancer…
(Nicole) Dans les cahiers aussi. Hier soir, on avait notre p’tit groupe de prière puis on lisait : vous avez fait ci, vous avez ça, ça, ça : miséricorde, miséricorde, dans les cahiers.
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On entre là-dedans tellement facilement là.
(Nicole) C’est une grâce.
Q. C’est parce qu’il y a la purification de la chair, puis la purification de l’âme aussi parce qu’on dit toujours le chapelet l’après-midi, et on dit : « Purifie ma chair et mon âme ». Comment différencier la purification de l’âme avec la purification de la chair?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La purification de l’âme, c’est la souffrance, c’est la souffrance qui amène la chair à ne pas vouloir regarder la souffrance de l’âme. Quand l’âme est dans la souffrance, elle ne peut pas accepter les grâces de notre Dieu, elle en est donc incapable. La chair qui ne reçoit pas de grâces ne veut rien savoir de l’âme, parce que la chair est orgueilleuse. Notre chair ne veut pas quitter la volonté humaine. Il en a fallu des ‘je t’aime’ pour nous amener à ne plus vouloir que notre chair vive dans la volonté humaine.
Vous souvenez-vous? Jésus, il a dit : «Si je vous avais demandé : «Me donnez-vous votre volonté humaine?» il y a quelques années, on aurait dit non à Jésus, parce qu’il a dit : «Ce n’était pas le temps.» Il fallait atteindre le nombre de mouvements qui faisaient acte de réparation pour atteindre le oui. Tout se fait dans la Divine Volonté. Le passé, le présent et le futur sont là, tous les mouvements sont là. Il fallait que des enfants vivent dans les mouvements d’amour pour leur prochain, il fallait atteindre le nombre. Tant que le nombre d’enfants qui étaient pour dire : « Seigneur, on n’en peut plus, fais quelque chose! » alors, il fallait atteindre ce nombre-là.
Et ce nombre a été atteint dans notre temps. C’est pour ça que le oui a été, par les grâces, surgi du plus profond de nous-mêmes et on a pu l’entendre. C’est très important ce que le Ciel nous fait comprendre. Nous sommes ensemble! Voilà pourquoi la très Grande Purification de la chair se fait ensemble. L’âme a été étouffée par la volonté humaine qui manipulait la chair, mais l’abandon, l’amour, cette obéissance, nous l’avons en nous.
Il y a une personne qui a pris soin de notre oui : la Vierge Marie. Elle, elle a pris soin de nous. Elle nous a amenés vers son Fils, vers qui? La Miséricorde. Tout s’accomplit dans l’ordre de la Volonté du Père : le Père qui voit ses enfants qui veulent s’accomplir. Il fallait aller vers le Fils pour que nous puissions regarder ce que le Père attend de nous. Nous vivons un temps de grâce, un temps d’amour. Alors, c’est pas si pire, hein, pour ce soir?
Mon résumé face à la compréhension de cet enseignement EST DE MOI SEULEMENT : On pardonne à tout le monde et on se pardonne tout. Tout comme Jésus qui aime sans condition.
Dieu dit Miséricorde au lieu de dire Je te pardonne, si ça nous mélange, on a qu’à changer le mot Miséricorde par Je te pardonne, ou Je me pardonne ou Dieu me pardonne, pour moi ça été une manière de me familiariser avec ce mot, et maintenant je peux dire miséricorde sans problème, mais aussi nous savons que pour avoir le pardon total, on doit aussi aller à la confesse, pour terminer la job correctement, c’est aussi simple que ça
Et que de paix de joie et d’amour que nous ressentons en vivant les pardons, en plus, Jésus nous guéris, il nous libère, on deviens libre peu à peu, je le vis depuis très longtemps et c’est rendu facile de pardonner, ah des fois c’est plus dure, mais j’avance et je me pardonne, wow, quel cadeau pour tout le monde, car vu qu’on porte aussi tout le monde en nous, car on est en Jésus et Jésus est en nous, bien tout le monde en bénéficie aussi, c’est ce que Dieu appelle être une nourriture pour les autres, si on est joyeux, bien on donne de la joie aux autres même si pour nous c’est invisible !!! Amen Alléluia !!!
Le Jugement face à Dieu, là dans le présent, c’est accepter ( dire oui ) d’être aimé par Dieu et d’être pardonné, de pardonner à notre tour à nous même et de pardonner aux autres, tout tout tout !!! C’est l’amour !!!
C’est terminé pour cette belle rencontre d’amour, la prochaine sera une autre date, à bientôt !!!
Site officiel de La Fille du Oui à Jésus
Sylvie qui se veut amie de Jésus